Les Spire 5 de 361° risquent fort de vous accompagner durant ce printemps et cet été. Vous aurez peut-être même l’envie d’augmenter votre charge kilométrique en automne. Pourquoi ? Suivez le guide.


Test du modèle Spire 5 de 361°

La plupart du temps, quand je reçois une nouvelle paire de baskets, je les porte déjà quelques heures sans courir. Cela me permet d’observer mes premières sensations. Je traîne avec à la maison, je marche un peu et je commence à les ressentir en imaginant mes premières foulées. C’est une manière pour moi de faire monter l’envie et l’excitation de les tester sur mes parcours préférés en Haute-Savoie.

Premières impressions

Rien à signaler. Zut, me voilà dans de beaux draps pour ne pas dire dans de belles pompes. Mon test pourrait s’arrêter là et vous dire courez vous les procurez.

« Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme… »

Me voilà donc bien embêter car mes extrémités inférieures articulées à mes jambes y trouvent naturellement leur place. Je ressens tout de suite du confort. La Spire 5 dégage de la confiance et on se sent accompagné, tenu et enrobé.

Dès les premiers pas, la technologie se fait discrète et joue son rôle pour apporter un amorti de qualité. En somme, les tests en usine sont confortés dans la pratique.

Les sorties sur route

Trop beau pour être vrai ?

Le seul hic auquel je suis confronté est le laçage. Est-ce le neuf de la chaussure ? Ou juste sur le modèle que j’ai en test ? Plusieurs sorties ont été nécessaires pour trouver le bon serrage. Dans ma pratique de l’ultramarathon, j’ai souvent ressenti le besoin d’un laçage très soft. Même l’idée de courir sans lacets m’a traversé l’esprit. Finalement, au bout de quelques essais, tests, délaçages et relaçages, j’ai trouvé le bon maintien et la bonne pression.

Trop belle pour être vraie ?

C’est évidemment subjectif mais j’adore le rouge de 361° et le design sans fioriture, élégant qui s’inscrit dans le temps. Et même si la chaussure ne fait pas le coureur, éprouver du plaisir visuel est toujours bon à prendre pour se sentir bien dans ses pompes.

Mon appréciation

J’ai apprécié l’aération et la respiration de la maille qui assure un bien-être durant la course.

La mousse Ortholite (20% de matières recyclées) assure un excellent confort pour s’y sentir « comme à la maison ».

Les technologies QUIKSPRING+ et QUIKFLAME offrent un très bon amortissement et amplifie le confort.

Le poids du coureur a été pris en compte et même si à la sortie de l’hiver les bons repas ont laissé quelques traces… les Spire 5 savent être comprehensives et élégantes sur le sujet 😉

Comme je l’écrivais en début d’article, les bonnes sensations de courses (endurance et vitesse) sont apparues dès les premiers mètres. L’adaptation à ce modèle a donc été immédiate et j’ai vite oublié qu’il était neuf. Ce point est essentiel car la Spire 5 sait se faire oublier pour laisser place au sport. C’est donc une très bonne partenaire de course.

Spire 5 :

Surface : route et chemins (secs)

Foulée : neutre

Poids : 284 grammes (H) 233 grammes (F)

Drop : 9mm

Utilisation : entraînement, du 10 kil au marathon et VMA

Qualités : amorti & confort

Test Kairos de 361°

Test Strata 4 de 361°

Test Spire 4 de 361°

Test Meraki 3 de 361°

Test Taroko 3 de 361°