La procrastination, souvent perçue comme un simple manque de volonté, est en réalité un phénomène complexe et multifactoriel qui peut entraîner des répercussions significatives sur la performance sportive. Je vous propose d’explorer les causes sous-jacentes de la procrastination dans le sport et de vous suggérer quelques stratégies pour vous aider à la surmonter. Lire la suite
Le marathon est pour ma part l’épreuve la plus difficile pour celle et celui qui souhaite performer avec un chrono à la clé !
MARATHON
Marathon de Monaco, Nice-Cannes, Genève, celui de Lausanne… font partie des 41.195 km auxquels j’ai participé.
Mon record personnel n’est pas bien haut, il est de 3h18 et je ne planifie pas de le battre !
Cependant, cette épreuve reine en course à pied reste à mon avis la plus belle de toutes et une des plus éprouvantes.
Bien sûr courir un 24h est difficile ! Mais si vous souhaitez performer en améliorant votre chrono, courir vite plus de 42 kilomètres, alors c’est une compétition très dure avec vous-même (physiquement et mentalement).
Je vous invite à me suivre sur marathon et bénéficier de mon expérience de la longue distance.
Ma spécialité touche à l’entraînement mental
Je vous aide volontiers à vous dépasser sur une telle distance. Donc je vous propose des conseils sérieux et appropriés à votre personnalité.
Prépare ton mental pour ton marathon de La Rochelle ? Celui de Deauville ? Ou Lausanne ? Ou le marathon de Toulouse ? Tu as encore assez de temps pour bien renforcer ton mental et arriver au bout des 42.195 km ! Lire la suite
Pour la première fois, Deauville et la Communauté d’agglomération in Deauville ont le plaisir d’accueillir un Marathon.
42.195 km, un dernier pour la route
Ok, ok… je dis ça a chaque fois : « Un dernier pour la route, un dernier marathon pour le fun, et ensuite je tournerai la page ». Sauf que cela fait plusieurs années que je tiens ce discours. Non mais c’est vrai, il y a toujours une motivation qui sort de sa boîte comme un petit diable et… le coureur étant faible, il craque !
Marathon de Lausanne 2017
Demain (dimanche 22 octobre 2017) j’aurai la chance d’accompagner Christelle Sturtz. Elle a un objectif et nous comptons bien le tenir ! Un peu comme un meneur d’allure, rôle que j’ai plusieurs fois tenu sur le semi du Lausanne Marathon ou Les 20 km de Lausanne, je vais courir avec elle apparemment sous la pluie (on prendra un parapluie…). Nous n’avons jamais couru ensemble mais nous communiquons beaucoup afin d’affiner la stratégie. Sera-t-elle payante ? Réponse dimanche après-midi après avoir tracé la route !
La préparation
Pour le coup je ne suis pas prêt à 100%. Disons qu’il y a un bon 70%. Ayant peu couru depuis le début de l’année je vais m’en tenir en grande partie à mon expérience, mon endurance de base et ma connaissance du parcours. Pour le reste ? J’avancerai au mental.
Ce soir repas à base de riz, courgettes, jambon et fruits. Demain matin je vais opter pour un petit-déjeuner à base de fromage blanc, céréales,fruits et un ou deux œufs durs. D’ici à demain j’évite le café et je continue à bien m’hydrater avec de l’eau. Avant le départ du marathon à 10h10 je vais assurer l’hydratation avec une boisson d’attente iso de Powerbar. Durant la course je prévois 2-3 gels Powerbar dont un à base de caféine si j’en ressens le besoin durant les derniers kilomètres. Comme d’habitude je ferai le choix de m’arrêter à tous les ravitos (surtout pour boire).
Un petit conseil en passant : ne négligez pas les ravitaillements. Et si vous deviez en sauter un, portez votre choix sur le dernier, mais jamais sur le premier qui va vous permettre de faire le plein d’eau et de maintenir une certaine qualité d’hydratation.
L’allure sur la route
Il y a une vérité qui est maintes fois répétée. Maintenant que la vitesse a été définie, durant la course il est important de ne pas la changer le jour J (même si on se sent très en forme et que l’idée de faire mieux que prévu vous passe en tête). Celle allure sera maintenue tout au long du marathon. A moins que votre stratégie soit de le courir en negative split. Demain, avec Christelle Sturtz, notre plan de route est de maintenir une vitesse constante du début à la fin.
Si vous participez à une des coures du Lausanne Marathon, je vous souhaite beaucoup de plaisir et aussi d’atteindre vos objectifs. Je sais que pour certains d’entre vous c’est une grosse préparation qui a durée des mois. Alors que demain soit votre jour sur les routes du Lavaux !
Rencontrons-nous, partageons, échangeons
+33 6 52 71 26 26 (Rochefort) – contact()stephane-abry.com
Créateur de la page Course à Pied sur Facebook (+ de 46’900 followers)
Auteur du livre « N’oublie pas pourquoi tu cours » Jacques Flament Editions et sur Amazon
Shakez votre vie ! stephane-abry-coaching.com
#ultrabry #entreprunner #shakezvotrevie
Lausanne Marathon ça approche
A quelques jours du Lausanne Marathon je suis allé trotter dans le Lavaux mardi en fin d’après-midi. D’une part c’était très agréable de se plonger dans l’ambiance, sous le soleil en serpentant dans les vignes. D’autre part il y avait surtout un shooting à réaliser pour mon livre qui sortira au printemps 2018.
En terme de préparation pour ce 42.195 km, j’avoue madame la juge, que je suis un peu à la ramasse. Depuis début avril j’ai vécu de grosses pertes de motivations et au début de l’été une tendinite au talon droit m’ont bien bloqué pour m’entraîner. Donc j’ai chargé un peu en kilométrage ces derniers temps, juste pour que mon corps soit prêt à encaisser le kilométrage le 22 octobre.
En duo avec Christelle Sturtz
Cette année j’ai le plaisir d’accompagner Christelle Sturtz sur ce joli aller/retour. Nous nous connaissons via les réseaux sociaux et par la voix au téléphone. Nous avons fait connaissance il y a quelques temps déjà grâce à l’Association ELA. Cependant nous n’avons jamais trotté côte à côte (on se calera durant les premiers kilomètres). Christelle Sturtz a un objectif pour ce marathon et je vais en quelque sorte lui servir d’ange gardien pour qu’elle atteigne son but dans les meilleures conditions. Je me réjouis de notre rencontre et de pouvoir partager avec elle ces quelques heures d’endurance.
Alors d’ici au 22 octobre je vais encore enchaîner quelques sorties sans trop pousser la machine afin d’être le plus frais possible. La dernière semaine sera allégée. Quelques footings seront au programme pour garder du rythme et un peu de « stress ». Et certainement, comme d’habitude pour moi, une dernière petite sortie le samedi 21 afin que mon corps reste éveillé. Par expérience c’est ce qui m’a toujours convenu. Trop couper avant le jour J est le meilleur moyen que je connaisse pour être engourdi lors de l’épreuve.
J’espère que j’aurai le plaisir de vous croiser dans le sas de départ, sur le parcours ou la fin pour le verre de l’amitié !
Rencontrons-nous, partageons, échangeons
+33 6 52 71 26 26 (Rochefort) – contact()stephane-abry.com
Créateur de la page Course à Pied sur Facebook (+ de 46’900 followers)
Auteur du livre « N’oublie pas pourquoi tu cours » Jacques Flament Editions et sur Amazon
Shakez votre vie ! stephane-abry-coaching.com
#ultrabry #entreprunner #shakezvotrevie
C’est avec un immense plaisir que je serai de retour au Lausanne Marathon le dimanche 22 octobre 2017. C’est un parcours que j’apprécie particulièrement pour sa beauté dans le Lavaux et avec sa vue magnifique sur le lac Léman. Lire la suite
Meneur d’allure en 02h10
Ce week-end avait lieu le Lausanne Marathon. C’est pour moi toujours un plaisir d’y participer, même si la distance reine m’a déjà posé quelques soucis ! Mais cette fois-ci j’étais engagé sur le semi-marathon comme meneur d’allure via le Club Spiridon Romand. C’était ma 2ème participation avec ce rôle de pacer lors de cette manifestation. Je tourne en général aux alentours de 01h35 sur le 21.1 km mais pour être certain d’être « facile » et de mener les coureurs à bon port, je m’inscris sur des chronos de 2h ou 2h10. Cela me permet de papoter, d’encourager les runners et aussi le public (qui par endroit est vraiment très calme 😉 ). Bon j’avoue j’ai terminé à Ouchy avec 14 secondes d’avance…
Jour J
J’adore ces moments d’avants course durant lesquels nous nous retrouvons avec tous les autres meneurs du semi. On se raconte l’année écoulée, nos projets, les anecdotes, les bobos, la stratégie que nous allons mettre en place et nous nous équipons avec nos drapeaux. Nous passons ensuite à la photo de groupe et à celle sur la ligne de départ (avec Laura Hrebec qui gagnera cette nouvelle édition en 01:16:27). Et jusqu’au top départ c’est l’occasion de revoir ou de faire connaissance avec une multitude de personnes, et ça : j’adore !
La course
On a beau être meneur d’allure, le premier km est toujours un peu trop rapide, nous sommes nous aussi embarqués par le mouvement de foule et les gps s’affolent. J’écris « les » car par expérience il vaut mieux avoir 2 gps… il m’est arrivé que le mien me fasse quelques surprises…
Ensuite, ce n’est que du bonheur sur ce très joli parcours dans le Lavaux en longeant le lac Léman. De la Tour-de-Peilz jusqu’à Lausanne le profil est vallonné. Il n’est pas difficile mais je suggère de travailler le dénivelé aux entraînements afin d’avoir assez de ressources physiques pour cette course.
La météo était top pour courir ! Les coureuses et coureurs qui me suivaient étaient particulièrement enjoués, ils n’ont rien lâchés jusqu’à la ligne d’arrivée. Quelques encouragements à celles et ceux qui étaient partis certainement un peu vite ou qui subissaient quelques bobos et que nous dépassions à partir du 13ème kilomètre. Un arrêt rapide auprès d’un samaritain pour signaler l’arrêt d’un coureur qui était en difficulté le long de la route (blessure au genou). Sinon juste du bonheur de faire partie de notre grande famille.
L’arrivée
Aaaah les 2 derniers kilomètres où l’on sent l’impatience d’arriver ! C’est là qu’il faut trouver les mots justes pour ceux qui sont dans le dur, et dans les derniers mètres les encourager à me passer devant pour être en-dessous de leur objectif de 2h10.
C’est fait ! Accolades, bises, serrages de mains ! Nous récupérons nos médailles, nous prenons le ravito, nous refaisons la course… et quel plaisir de voir tous ces sourires ! Durant ces plus de 2 heures de running certains se confient et je sais que pour eux (avec leurs propres raisons) c’est un véritable défi de passer la ligne d’arrivée. La récompense du meneur d’allure ? Cette phrase : « Sans toi j’aurais lâché ! »
Un grand merci pour votre confiance (coureuses, coureurs, organisateurs, Club Spiridon Romand) et peut-être bien à l’année prochaine !
Prochain Lausanne Marathon : 22 octobre 2017
Suivez-moi sur les réseaux sociaux
Facebook : www.facebook.com/stephaneabrycoaching & www.facebook.com/abrystephane
Twitter : twitter.com/StephaneAbry
Linkedin : www.linkedin.com/in/stephaneabry
Pinterest : www.pinterest.com/stphaneabry
Instagram : instagram.com/steabry
Google+ : plus.google.com/u/0/+StéphaneAbryCoaching
Mes hashtags : #ultrabry #ultramarathon #abry #teamUR #mizuno #o2score #powerbar
8ème Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes
J’aurais aimé vous raconter des choses totalement incroyables, magiques, comme quand on court son premier marathon avec évidemment toute la découverte d’une jolie aventure intérieure. Je vous aurais découpé le marathon en 42 chapitres avec chaque sensation à chaque pas. J’aurais sublimé mes 42000 foulées, j’aurais… j’aurais… Pas de mauvaise interprétation, cette course a été un vrai moment de bonheur mais (sans être blasé) il est vrai qu’avec les années de course, l’habitude nous fait vivre le 42.195 autrement, différemment et peut-être que notre attention se pose sur d’autres aspects de la course.
Nous sommes arrivés à Nice vendredi après-midi, papotage rapide avec Dominique Chauvelier dans le hall de l’hôtel Westminster, rencontres improvisées avec l’hypnothérapeute Kevin Finel et dimanche matin discussion d’avant course au petit-dèj avec Gloria Nasr. Et jusqu’à samedi soir nous avons profité du soleil, du Vieux Nice et de changer d’air.
Faire et laisser faire
Le 25 octobre au marathon de Lausanne j’ai stoppé au 23ème kilomètre suite à un début de malaise. L’électrocardiogramme et les analyses sanguines qui suivirent étant ok, mon médecin du sport m’a laissé courir le marathon des Alpes-Maritimes avec 2-3 précautions d’usage, entre autres celui de courir très peu entre les 2 marathons. Je ne suis pas toujours discipliné, mais là, j’ai pris très au sérieux ses conseils. Du coup je me suis mis en tête que ma course entre Nice et Cannes devrait se dérouler comme elle se présenterait, juste en étant à l’écoute de mes sensations sur le moment même. En gros, quand j’avais envie de ralentir je le faisais, j’avais envie de marcher aux ravitos je marchais, je voulais accélérer pour avoir la casquette Mizuno au vent alors j’allais plus vite. Je me suis laisser bercer par ce qui se présentait au fil des kilomètres. Sensations étranges d’être moins sous contrôle en ayant comme objectif final que celui d’être finisher.
Courir sans trop de bobos
Par le passé, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis mis minable pour donner tout ce que j’avais. Est-ce l’âge ? La maturité ? Trop vieux pour ces conneries ? Une forme de sagesse ? Crainte des blessures ? Me mettre dans ces états incroyables ne m’excite plus du tout. Je sais que je suis souvent « aller trop loin » grâce au mental qui compensait mes manques physiques. Maintenant j’accepte mieux certaines de mes faiblesses et je compte bien en faire des forces pour l’avenir. Donc dimanche, au départ de Nice, je savais qu’il ferait chaud sur le parcours et la casquette était pour moi « vitale ». J’ai pris aussi l’habitude de courir avec une gourde que l’on tient à la main. Dedans j’y mets mes gels énergétiques dilués dans 500 ml d’eau. Cela me permet de m’hydrater régulièrement et d’avoir un apport en sucres dès les premiers pas. Par la suite j’ai complété avec de l’eau, de la boisson énergétique et sur la fin je suis passé à de l’eau sucrée. Malgré les soucis à Lausanne j’ai tenu sans trop de bobos jusqu’au 35ème km. A partir de là j’ai un peu ramé jusqu’à la ligne d’arrivée en 03h49. Quand on a stoppé pour diverses raisons lors d’une épreuve, je trouve essentiel (sans parler de chrono) de terminer la prochaine afin de ré-ancrer un acte positif. C’est chose faite pour moi et j’ai terminé en me disant que la mission était accomplie.
Organisation
J’ai participé à différentes courses où l’organisation était vraiment très bien. Dimanche j’ai été bluffé par l’efficacité de celle des organisateurs. De la prise en charge dès le retrait du dossard, en passant par l’accueil très sympa dans le sas de départ d’un bénévole, par la bonne humeur aux ravitos, l’organisation du fléchage entre les coureurs solos et les relais et jusqu’au ravitaillement après la ligne d’arrivée, j’ai rarement vu cela. J’ai apprécié le sandwich au jambon, le petit pain au chocolat, les différents fruits après l’arrivée et même un ou deux bonbons Haribo qui sont un peu comme des doudous quand on a les quadriceps en compote.
Recommandation
Evidemment, cela reste mon point de vue, mais je recommande vivement ce marathon le long de la Grande Bleue. Le parcours est très joli, il réserve quelques pièges, de longs faux-plats qui donnent un peu de fil à retordre et cassent la routine du « non-bosselé ». L’organisation est top, l’ambiance est quasi présente tout au long du parcours, le public est chaleureux et arriver sur la croisette a un petit gout de reviens-y !
Sponsors et partenaires
Un remerciement particulier à mes sponsors et partenaire qui sont à mes côtés (certains depuis 2008 je pense à l’équipe de Powerbar Suisse) et qui m’aident à vivre mes rêves : Team Univers Running, Mizuno, Powerbar, Blisport et Mad Concept.
« Je ne peux pas te perdre »
Après l’arrivée, les muscles se sont contractés et je me suis allongé sur la pelouse en compagnie de mon Amoureuse. Elle ne court pas mais Karyn commence à bien connaitre nos habitudes de coureurs et n’hésite pas à me taquiner. En me voyant marcher au ralenti et comme un pingouin elle m’a dit avec son regard pétillant et espiègle : « Aujourd’hui, c’est certain, je ne peux pas te perdre ! »
Un grand merci à tous pour vos messages d’encouragements, votre suivi et votre amitié ! A très vite pour une autre aventure, la prochaine étant fixée au 30 avril et 1er mai 2016 pour les 24h de Bâle !
Partageons aussi sur les réseaux sociaux
Facebook : www.facebook.com/stephaneabrycoaching & www.facebook.com/abrystephane
Twitter : twitter.com/StephaneAbry
Linkedin : www.linkedin.com/in/stephaneabry
Pinterest : www.pinterest.com/stphaneabry
Instagram : instagram.com/steabry
Qui pour battre le record des 2h08’40’’ ?
La 8e édition du Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes aura lieu dimanche 8 novembre depuis la Promenade des Anglais pour relier Cannes face à l’hôtel InterContinental Carlton. Le départ de l’épreuve sera donné à 8h00 aux côtés du Député-Maire de Nice, Christian Estrosi, fidèle
participant des épreuves organisées par Azur Sport Organisation et porteur du dossard n°6, comme à son habitude. David Lisnard, Maire de Cannes et Vice-Président du Département des Alpes-Maritimes prendra également le départ avec le dossard 98. Plus de 14 000 participants sur les 3 formats de course proposés seront présents cette année, une jolie performance pour cette épreuve de renommée internationale, premier Marathon de France après Paris.
Les favoris de la compétition
Cette année, le kenyan Bellor YATOR, la meilleure référence annoncée sur le papier, détenteur d’un record personnel en 2h08’39’’ et qui avait terminé l’an dernier à la 5e place du classement, fera figure de favori, certainement bien décidé à prendre sa revanche. Dans son sillage, son compatriote Moses KURGAT, crédité d’un record personnel en 2h08’40’’ et l’éthiopien Tedesse AREDO, vainqueur du Marathon de Padoue en 2h09’02’’en 2011 devraient jouer des coudes. Mais il ne faudra pas oublier non plus le kenyan Barnabas KIPTUM, auteur d’un record personnel en 2h10’29’’. L’an dernier, KIPTUM avait mené la quasi-totalité de la course et manqué de peu la première place du podium. Il y a fort à parier que cette année, KIPTUM fera tout pour ne pas laisser s’échapper la première place. Pour mémoire, depuis 2011, le record chez les hommes est toujours aux mains du kenyan Lukas KANDA en 2h08’40’’.
Côté féminines, il ne devrait pas y avoir beaucoup de suspens concernant le podium, puisque la kenyane Rose CHEPCHUMBA, finaliste de l’édition 2014 avec un nouveau record personnel de 2h33’52’’ et sa compatriote Emily ROTICH, 2h32’10’ au compteur et qui avait terminé sur la seconde marche en 2014, 2012 et 2010 sont à nouveau confirmées sur cette édition. A suivre également en tête du peloton féminin : l’éthiopienne Girma
WOYNISHET, nouvelle venue sur l’épreuve et affichant un chrono personnel en 2h27’51’’ et sa compatriote Tigist WORKU (2h37’28’’). Pour mémoire, le record de 2 heures, 30 minutes et 37 secondes enregistré par la kenyane Radiya ROBA en 2010 tient toujours.
A noter cette année, la participation d’une française dans la start list des féminines, Alizée BARRIER, qui fera ses grands débuts sur marathon. Nul doute que le public azuréen aura à coeur de la soutenir d’un bout à l’autre de ces 42,195 km.
Source : communiqué de presse d’Azur Sport Organsisation
Dernier dimanche d’octobre
Comme chaque année, le Lausanne Marathon a lieu le dernier dimanche du mois d’octobre ce qui nous permet de dormir une heure de plus ! Merci aux organisateurs pour le choix de la date ! C’est aussi, souvent, avec une météo clémente que nous courons ce marathon classé parmi les 10 plus beaux marathons au monde. Pour cette nouvelle édition la météo annonce pour le moment un ciel un peu voilé et des températures entre 9° et 15°. Il est donc fort possible que nous ayons un bon 20° dès 12h.
Préparation et stratégie
Depuis 10 semaines j’ai travaillé sur ma vitesse mais j’avoue qu’il y a une fatigue qui dure depuis environ un an et je sens bien que la vitesse n’augmente plus, mais au moins je la maintiens. Donc depuis 2 semaines j’ai fait le choix de lâcher-prise en me disant que le chrono que je ferai dimanche ne sera que le reflet de ma forme et de mon niveau actuel. En plus je sais que je ne gagnerai pas le Lausanne Marathon et que je ne serai pas non plus dans le top 50 donc mes objectifs ont évolué : 3h20 est réaliste (4.44 au kil / 12.6 km/h). Ensuite sur ce parcours vallonné, et pour commencer à bien le connaitre, « tout » peut arriver.
Petit-dèj que je vais booster en féculents vers 6h. Je prendrai le train jusqu’à Lausanne et je vais récupérer le dossard (250) au Marathon Expo à Ouchy. Ensuite il nous faut nous rendre à la place de Milan. Échauffements, papotages, entrer dans le bloc et commencer à courir vers 10h15. Celles et ceux qui connaissent cet aller/retour savent que le premier semi est « léger » jusqu’à la Tour de Peilz. Mais dès le retour là commence à tirer un peu plus sur les quadriceps et on refait le parcours en sens inverse. Le mental joue un rôle important pour se mettre dans sa bulle. Même s’il n’y a pas un gros dénivelé, nous passons quelques faux-plats qui entame bien l’énergie. Les 2-3 derniers km sont assez interminables et ce n’est pas le moment de flancher. La dernière ligne droite en direction du Musée Olympique booste le héros qui est en nous mais attention (si disposition inchangée) les premières arches ne sont pas celles de l’arrivée.
Je vous souhaite un très beau et agréable Lausanne Marathon mais aussi d’atteindre vos objectifs !
Photo : ARC/Lausanne Marathon
Suivez-moi sur les réseaux sociaux
Facebook : www.facebook.com/stephaneabrycoaching & www.facebook.com/abrystephane
Twitter : twitter.com/StephaneAbry
Linkedin : www.linkedin.com/in/stephaneabry
Pinterest : www.pinterest.com/stphaneabry
Instagram : instagram.com/steabry
Google+ : plus.google.com/u/0/+StéphaneAbryCoaching
Mes hashtags : #endurance #reve #ultra #ultramarathon #abry
- PRÉPARATION MENTALE À LA TOUR-DE-PEILZ (SUISSE)14 août 2024 - 9 h 05 min
Sur invitation de l’association Home Studio Sport Riviera, j’anime le 07 septembre 2024, une présentation sur la préparation mentale à La Tour-de-Peilz.
- COURIR AVEC L’ESPRIT : LA PRÉPARATION MENTALE DES COUREURS8 août 2024 - 7 h 57 min
La course à pied est souvent perçue comme un sport solitaire et simple. En réalité, c’est une discipline complexe qui requiert une préparation minutieuse tant sur le plan physique que mental. Bien sûr, l’entraînement physique est essentiel pour développer l’endurance et la force. Cependant, courir avec l’esprit joue un rôle tout aussi crucial dans la […]
- COMPRENDRE ET SURMONTER LA PROCRASTINATION DANS LE SPORT1 juillet 2024 - 7 h 09 min
La procrastination, souvent perçue comme un simple manque de volonté, est en réalité un phénomène complexe et multifactoriel qui peut entraîner des répercussions significatives sur la performance sportive. Je vous propose d’explorer les causes sous-jacentes de la procrastination dans le sport et de vous suggérer quelques stratégies pour vous aider à la surmonter.
- DOIS-JE ME FAIRE MAL POUR PROGRESSER EN COURSE ?1 juin 2024 - 7 h 55 min
Vous imaginez bien que cette question est loin d’être innocente. Devez-vous vous faire mal pour progresser ? Étant de nature médiatrice, je vais tenter de ne pas vous faire une réponse de Normand.