Marathon Stéphane Abry Ultramarathon

Le marathon est pour ma part l’épreuve la plus difficile pour celle et celui qui souhaite performer avec un chrono à la clé !


MARATHON

Marathon de Monaco, Nice-Cannes, Genève, celui de Lausanne… font partie des 41.195 km auxquels j’ai participé.

Mon record personnel n’est pas bien haut, il est de 3h18 et je ne planifie pas de le battre !

Cependant, cette épreuve reine en course à pied reste à mon avis la plus belle de toutes et une des plus éprouvantes.

Bien sûr courir un 24h est difficile ! Mais si vous souhaitez performer en améliorant votre chrono, courir vite plus de 42 kilomètres, alors c’est une compétition très dure avec vous-même (physiquement et mentalement).

Je vous invite à me suivre sur marathon et bénéficier de mon expérience de la longue distance.

Ma spécialité touche à l’entraînement mental

Je vous aide volontiers à vous dépasser sur une telle distance. Donc je vous propose des conseils sérieux et appropriés à votre personnalité.


Avez-vous déjà pensé à utiliser la courbe de Bandura lors d’un nouvel apprentissage ou pour asseoir une performance ?

Il nous arrive de croire que…, de penser que… d’imaginer que… nous allons réussir comme ça, en claquant des doigts. J’exagère volontairement en évoquant la réussite d’un marathon, pourtant quand on se lance sur un tel format nous n’avons pas forcément la bonne vision. Au bout de quelques semaines et il nous faut des fois revoir nos objectifs car nos performances ne sont pas du tout en adéquation avec nos attentes.

L’effet Bandura

La courbe de Bandura tient son nom d’Albert Bandura, psychologue de l’université de Stanford, connu, entres autres pour avoir étudié le lien entre « ce que les gens comptent faire » et « comment ils fonctionnent réellement et concrètement ».

Nous avons tous des compétences inexploitées, inconscientes, latentes. Par exemple des enfants qui chaussent des skis pour la première fois ont déjà le sens de l’équilibre et de la glisse. Il s’agit d’une compétence inconsciente. Pour d’autres ce ne sera pas le cas ou dans une moindre mesure. Leur confrontation à ce sport sera pour eux l’occasion de constater qu’ils ne sont pas compétents et ils en prennent alors conscience.

Nous n’utilisons pas toujours nos compétences inconscientes, soit parce que nous n’avons pas l’occasion de les utiliser, nous demeurons alors inconscients de nos possibilités. Par exemple : nous sommes loin de la neige. Soit parce que, en ayant l’occasion, nous sommes arrêtés par nos « croyances limitantes ». Par exemple : faire du ski moi ? J’ai la trouille !

Par ailleurs, lorsque nous sommes en apprentissage, le niveau de performances que nous attendons de nous-mêmes est fonction du niveau de conscience que nous avons de tout ce qu’il y a à faire pour être performant. Nos attentes sont d’une façon générale supérieures à nos performances.

Courbe de BanduraIl se trouve que la plupart du temps nos performances progressent et nous satisfont au début… tout en étant motivés à faire mieux (nous commençons à savoir faire, nous apprenons).

Vient un stade plateau où nous avons conscience de ne plus progresser (nous apprenons et n’avançons pas).

Jusqu’au moment où nos attentes sont tellement supérieures à nos performances que nous nous démotivons, nous nous effondrons et nos performances aussi (nous devrions savoir faire… nous avons appris… nous nous sommes entraînés… mais nous n’arrivons pas).

La difficulté se situe au stade du « plateau ». C’est en effet là que que se joue l’écart important entre les attentes et les performances. C’est à ce moment qu’apparaît « le petit vélo dans la tête » avec les doutes, les découragements et des pensées en forme de conclusions au niveau de son identité : « Je suis nul ! Jamais je n’y arriverai ! Je ne suis pas fais pour ça ! J’en ai marre !… »

Or c’est précisément au stade « plateau » que doivent être développés

  • Soit de nouveaux comportements.
  • Soit de nouvelles façons de faire (les capacités).
  • Soit de nouvelles croyances pour faire différemment ce que l’on faisait.

Il est donc important dans tout nouvel apprentissage et/ou objectif d’intégrer dès le départ la possibilité de connaître un ou plusieurs stades « plateaux ».

Gérer le plateau de la courbe de Bandura

Le ressenti est souvent un indicateur de mise en route du « petit vélo ». Pour éviter son état dévastateur qui est codé « échec » il faut changer sa vision :

  • En faisant du feedback (par exemple avec son coach) pour réincorporer les savoir-faire.
  • En considérant l’effet « plateau » comme une source d’informations (faut-il changer ce que je fais ? Mes façons de faire ? Mes critères de satisfaction ?).
  • En essayant de comprendre s’il n’y a pas un bénéfice secondaire à vivre ce moment « plateau ».

Marathon et courbe de Bandura

Imaginez maintenant votre premier marathon en pensant à la courbe de Bandura en tant qu’appui puissant pour votre préparation. Que se passera t’il ?

  • Vous vous lancerez dans l’aventure tout en sachant que par moment il y a aura une sacrée différence entre vos attentes et vos performances.
  • Vous saurez que votre évolution sera certainement perturbée mais qu’il existe des solutions pour re-progresser.
  • Vous sentirez venir l’effet « plateau » et vous aurez le réflexe de prendre du recul pour éviter le risque d’abandon.

Source : Congruences et Institut Ressources


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Stéphane Abry ultramarathon

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Auteur du livre « N’oublie pas pourquoi tu cours » Jacques Flament Editions et sur Amazon

Shakez votre vie ! stephane-abry-coaching.com

#ultrabry #entreprunner #shakezvotrevie

Avant de courir des ultramarathons, je suis passé comme tout le monde par des distances plus courtes. D’ailleurs pour courir une course d’ultrafond il faut bien faire un premier pas… bref, vous comprenez la logique ! D’une manière générale, courir change déjà la vie, ne serait-ce qu’au niveau physique c’est bon pour le coeur, les muscles, les poumons, les os (oui oui la course les renforce) ça active le système immunitaire… et puis courir est excellent pour la tête, c’est un déclencheur de joie, un boosteur de confiance en soi et augmente considérablement l’estime de soi. Ce n’est pas pour rien que les docteurs et psychologues encouragent à faire du sport et plus particulièrement de la course à pied. Courir ? Ca change la vie !

Stéphane Abry Marathon de Monaco

Stéphane Abry Marathon de Monaco

Marathon de Monaco

Je me souviens de mon premier semi-marathon (Le Lion entre Montbéliard et Belfort), mais le premier marathon reste un moment sacrément magique. Peu importe le chrono que nous réalisons, le seul fait d’arriver au bout est une victoire sur soi, un cadeau que nous avons préparé durant des mois, un pied de nez à ceux qui vous en croyaient incapable et ce moment incroyable après avoir passé la ligne d’arrivée où vous vous dites : « Ca y est ! Je l’ai fait ! ». Mes deux premiers marathons ont été courus entre Monaco et Vintimille (aller/retour). Dommage que ce marathon n’existe plus, il était de toute beauté…

Marathon et sensations

Plus tard j’ai couru celui de Lausanne, de Genève et le 8 novembre 2015 je serai au départ de celui des Alpes-Maritimes Nice-Cannes. A chaque fois j’ai ressenti mon petit moment de trac avant le départ. Les coureurs comprendront : c’est fou le nombre de fois qu’il faut uriner avant le départ ! Comme si on avait bu des litres et des litres dans les heures précédentes. Le trac, ce moment qui nous connecte en quelque sorte à l’épreuve qui arrive. Ces sensations dans la ventre, la tête qui tourne un peu, une déconnexion de ce qui nous entoure, ce sas pour passer du « dormeur » au marathonien.

Le départ est donné, on cherche sa foulée, satané GPS qui comme par hasard ne se déclenche pas ce jour J, quelques fois on ventile trop, le trac n’a pas encore disparu, beaucoup de monde, on se cale sur les pas de celles et ceux qui sont devant nous, ça bouscule, ça rigole (là on peut encore), il y a toujours le coureur marrant qui fait rire tous les autres environ toutes les 30 secondes… Il y a le « pro » tout équipé, le vieux renard de 60 berges qui vient avec ses baskets et son short pourris et qui vous aligne encore les 42 km sous les 3 heures. Je pense aussi à la jolie marathonienne qui parait toute frêle et qui ma foi sera devant vous car son mental est bien plus fort que le vôtre. Et il y a ceux qui partent trop vite, qui vomissent, qui se blessent, qui pleurent, qui courent les derniers mètres en tenant la main de leur pitchoune de 5 ans. Et il y a ceux qui fêtent aussi leur retour à la vie, qui célèbrent une de leurs plus belles batailles, qui ont lutté contre une maladie pendant des mois et qui, comme par revanche, se sont lancés un nouveau défi mais celui-là étant choisit…

Marathon Alpes Maritimes 2Etre(s) vivant(s)

Oui c’est difficile, oui cela demande quelques sacrifices, oui cela peut paraître surhumain, oui cela peut faire peur, oui il faut de nombreux entraînements et beaucoup d’efforts mais ça vaut vraiment le coup de se lancer !

Car courir un marathon c’est aussi ça, rencontrer nos semblables, faire partie d’une communauté, d’une famille, se réconforter, s’encourager, rêver ensemble, oublier nos soucis quotidiens, se vider la tête, vibrer, rire, pleurer, serrer le point en signe de victoire à l’arrivée, jurer parce que ça fait du bien de lâcher des gros mots, serrer son conjoint dans ses bras en arborant fièrement sa médaille de finisher… vivre !

Comme le disait si bien Emile Zatopek : « Si tu veux courir, cours un kilomètre. Si tu veux changer ta vie, cours un marathon ! »


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Marathon Stéphane Abry ultramarathon

Je continue à suivre mon plan en vue de la préparation du Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes. Enfin… il a été perturbé par un petit rhume mais j’ai réussi à garder les sorties en endurance et de travail d’allure spécifique. J’ai dû mettre les sorties longues de côté ainsi que le fractionné. Mais ça y est, la gorge ne pique plus, le nez est débouché et le palais n’est plus en feu ! Je vais donc retrouver le plan initial. Cependant, vu que je ne cherche pas à faire un 02h30, je ne me m’inquiète pas trop. De toute façon je dois faire avec !

Avant le Marathon des Alpes-Maritimes, je suis invité au Lausanne Marathon et je me réjouis d’enchaîner ces deux 42 kil !

 

MAM décompte

45 jours

45 jours pour apprécier le plan marathon

45 jours pour gagner (quand même) un peu en vitesse

45 jours pour bien bosser mon allure marathon

45 jours pour être certain des objectifs

45 jours pour ne pas négliger les sorties longues

45 jours pour se créer un joli programme mental

Village running expoMarathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes : infos !

Lieu d’expositions et de convivialité dédié à l’univers de la course à pied, le village Running Expo sera aussi l’occasion de faire la connaissance des nombreux partenaires du Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes qui vous permettront de vous équiper des pieds à la tête.

N’oubliez pas aussi de faire un tour du côté de la boutique du village Running Expo pour emporter votre cadeau souvenir !

Retrait des dossards

Le village Running Expo à Nice sera aussi et surtout le lieu de passage obligatoire de tous les coureurs en quête d’un précieux sésame : leur dossard.

NB : Les concurrents devront venir retirer leur dossard en possession d’une pièce d’identité et du bon de retrait des dossards aux jours et horaires d’ouverture du village.

Pour les personnes souhaitant retirer le dossard d’une autre personne, la photocopie de la pièce d’identité de la personne sera demandée ainsi que la licence ou le certificat médical si cela n’a pas été envoyé précédemment.

Horaires d’ouverture du villageVillage Running Expo Nice

Jeudi 5 novembre 2015 : 17h00-20h00
Vendredi 6 novembre 2015 : 10h00-19h00
Samedi 7 novembre 2015 : 09h00-20h00

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Plan d’entraînement pour le marathon Nice-Cannes

Pour celles et ceux qui me suivent régulièrement sur mon site ou les réseaux sociaux (Facebook & Twitter) vous savez que je suis plutôt pour réguler mes entraînements plutôt que de m’en tenir à un plan plus strict. Ce qui ne veut pas dire que je ne m’entraîne jamais, mais je préfère de loin l’idée de « sortir courir » et d’en tirer des bénéfices sur le long terme. J’ai donc décidé de participer à 2 marathons cet automne celui de Lausanne le 25 octobre et celui des Alpes-Maritimes Nice-Cannes que je découvrirai le 08 nombre 2015. Pour cela j’ai décidé d’une stratégie qui je l’espère sera adaptée, c’est-à-dire « performer » (par rapport à mes propres critères…) à Lausanne et profiter un maximum des 42.195 km le long de la mer début novembre.

Je me suis donc lancé dans un plan d’entraînement marathon de 10 semaines. Entre les 2 marathons de l’automne je ferai du jus et garderai des séances pour garder le rythme.

Le plan que je m’impose n’est pas très compliqué à vrai dire. Il est basé sur 5 entraînements par semaine. Au menu des séances d’endurance fondamentale entre 45 et 60 mns. Du fractionné court plutôt sur piste (400, 800, 1’000 mètres), des séries longues (entre 85% et 90% FCM) et de l’intégration de l’allure spécifique durant les sorties longues qui ne dépasseront pas 02h30. J’intégrerai également quelques séances avec du faux-plat pour coller au profil de Lausanne.

Donc jusqu’à l’après Marathon des Alpes-Maritimes je me discipline pour éviter les sorties de 50 ou 60 km. Etant un coureur endurant mais peu rapide, je dois dire que ces entraînements spécifiques avec du travail de vitesse sont pour moi,  tout compte fait, une forme de récréation qui me fait un bien fou pour l’agitation de mes neurones !

Marathon Alpes Maritimes 1Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes : infos !

Tout seul, à 2 ou à 6 , le 8 novembre 2015,participez au 1er Marathon de France après Paris , un parcours unique le long de la mer qui fera de votre aventure un souvenir inoubliable ! Augmentation du tarif le 5/09 ! www.marathon06.com

Alone , by 2 or by6 , next 8th november 2015, take part of the French Riviera Marathon , enjoy its flat course along the sea , be amazed by its unique panoramas ! Rate’s increase next 5th september ! www.marathon06.com

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Plan marathon de 10 semaines

J’avoue monsieur le juge, je me suis préparé un plan marathon de 10 semaines pour participer au Lausanne Marathon du 25 octobre 2015. J’y vois un avantage ces temps-ci, c’est que ce plan va m’inciter à moins courir (oui oui vous avez bien lu) ce qui devrait me permettre d’être en forme le jour J et d’espérer avoir assez de réserves pour enchaîner le 08 novembre avec le Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes que je courrai en mode footing. De plus avec la rentrée qui approche à grands pas il va falloir dégager du temps pour l’animation de mes ateliers de développement personnel et de mes conférences (mental et Tour de Suisse en Courant).

J’associe à ce plan un séchage de la bête car on a beau nous dire tout ce qu’on veut mais quand vous perdez 5-6 kilos vous en sentez tout de suite les effets. Votre foulée est plus légère, vous gagnez en efficacité, vous êtes moins fatigué (si plan alimentaire adapté au marathon) et automatiquement vous augmentez votre vitesse.

En terme d’objectif je ne cherche pas à courir les 42,195 km en 02h30 car il faut être réaliste et sortir de la rêverie. Je me permets de ne pas annoncer le chrono voulu sur le web car cela met une pression supplémentaire et inutile. En revanche je vais tout faire pour atteindre l’objectif que je me suis fixé pour Lausanne et donc courir celui des Alpes-Maritimes en endurance.

Stephane Abry 02 decembre 2014Plan marathon de 10 semaines, 1ère semaine

Aujourd’hui j’ai couru en endurance environ 9,5 km (250D+/D-) en 01h02. D’ici dimanche il y a au programme des séries de 5 fois 400 mètres (2x) avec 1 mn de récupération entre les 400 et 3 mns en endurance entre les 2 séries. Il y aura encore un footing de 45 mns, une séance au seuil avec 4 fois 4 mns à 90% de ma FCM avec récupération en endurance de 1 mn 30. Et enfin la sortie longue, elle est timée à 01h40 avec une phase de 10 mns à allure marathon.

Evidemment tout cela va monter en puissance durant les 10 semaines et je vous informerai volontiers sur mes sensations et sur mon plan.

Je vous souhaite aussi de belles et bonnes préparations pour vos courses et toujours beaucoup de plaisir !

Il aura lieu dimanche 3 mai 2015. Durant tout le week-end : marathon en relais, semi-marathon, handbike et fauteuil, la Genevoise (course féminine), les courses juniors, les 10 km ainsi que walking et nordic walking ! C’est donc une grande fête de la course à pied qui se déroulera cette fin de semaine au Marathon de Genève. Lire la suite