Qu’est-ce qui maintient notre corps en mouvement, nous permettant de relever les défis de la vie quotidienne ? Quelle est cette force qui nous aide à garder notre équilibre, à soulever des objets et à maintenir notre posture ? Qu’est-ce qui nous permet de rester actifs et indépendants tout au long de notre vie ? La réponse réside dans nos muscles. Mais que se passe-t-il lorsque cette force vitale commence à décliner ? Quand nos muscles commencent à s’affaiblir, nous laissant vulnérables et fragiles ? C’est là que la sarcopénie entre en jeu. Qu’est-ce que la sarcopénie, quelles en sont les causes et surtout, que pouvons-nous faire pour la combattre ? Lire la suite
Pour courir dans de bonnes conditions et éviter un maximum les blessures, il est fondamental de prendre soin de votre corps.
Prendre soin de votre corps
Dans toute activité sportive, le corps est bien entendu au centre de notre attention.
- Entraînement adapté et progressif
- Alimentation et hydratation aux petits oignons
- Repos et récupération appropriés
- Suivi médical, massages…
Dans cette section de mon site, nous le mettons à l’honneur car on lui bien ça !
Ca veut dire quoi bien manger ? J’ai posé la question à Valérie Romanens qui répond à de nombreux coureurs de marathon qui ne voient dans le fait de manger que l’aspect « faire passer des aliments de la bouche à l’estomac ». Mais manger ce n’est pas que ça ! Lire la suite
Même si j’axe surtout ma pratique sur le mental et toutes les possibilités qu’il nous offre pour courir, je m’intéresse de plus en plus à la nutrition dans le sport. Je m’y intéresse comme un amateur. Amateur car pas expert et amateur comme gourmand. Aujourd’hui je vous propose de la bonne lecture celle du livre « Cuisine du sportif cuisine de la vitalité » Lire la suite
En parcourant le web, j’ai trouvé ces chiffres sur les effets de l’âge sur notre corps (source Runner’s World). Cet article a évidemment interpellé « le vieux de 68 » que je suis ! Lire la suite
Pourtant j’avais été sympa avec mes ischios. Peut-être un peu trop gentil d’ailleurs (arrêt sur blessure aux 24h de Royan). Pour le kiné, l’ostéo et la podologue le sol mou du stade m’a été fatal. Lire la suite
Dans le sport et particulièrement dans les courses d’ultra-endurance le mental tient une place importante. Cependant il ne fait pas tout. Le mental oui mais pas que ! Lire la suite
Je vous en parlais il y a quelques jours, j’ai décidé (enfin) de faire du renforcement musculaire ! Comme je souhaitais travailler correctement, prendre les bonnes postures, rester motivé avec cette nouvelle activité et suivre une progression logique je n’ai pas fait le choix d’applications, au contraire j’ai préféré être accompagné en vrai, en réel par une coach en crossfit : Valérie Jermann ! Lire la suite
Après environ un mois de repos forcé (chute qui ne me semblait pas si grave), c’est la reprise !
Suite à la dernière visite médicale (enlever les fils et vérifier la souplesse du genou) mon toubib du sport m’a en quelque sorte expliqué la vie : fini la récréation et on se remet au boulot ! Il m’a proposé de faire des étirements afin de pouvoir plier la jambe et me remettre à courir en footing pour faire fonctionner la machine ! Autant je peux être indiscipliné, autant là je suis un vrai petit soldat qui respecte les ordres du chef.
Après quelques jours de serrage de dents pour détendre la cicatrice, les muscles et les tendons je suis allé faire 20 tours de piste aux 24h de Bâle. Heureux d’avoir été dans cette ambiance si particulière, de trotter aux côtés de gars sacrément costauds et de me faire doubler plusieurs fois par l’ultramarathonienne et ultratraileuse Denise Zimmermann. Au bout de ces 20 km j’avais les quadriceps en compote et le genou gauche un peu douloureux. Je n’imaginais pas faire une performance aux 24h de Bâle dans ces conditions physiques mais cela m’a permis de me bouger les fesses pour cette reprise de la course à pied.
Semaine de reprise
Cette semaine j’ai repris plus sérieusement les footings avec un 1er objectif, celui de refaire gentiment du muscle. Donc travail d’endurance lors de 6 entraînements (57 km pour 6h de course) avec la plus longue sortie à 14 km. Bonnes sensations durant mes entraînements et c’est quasi jouissif (il faut bien que le corps exulte…) !
Suite de l’année ?
Je ne sais pas encore comment je vais clarifier les objectifs de cette année. Il y a toujours en point de mire l’ultratrail Mongolia Sunrise to Sunset début août et la No Finish Line Monaco au mois de novembre. Je vais certainement participé à des courses plus courtes entre deux de façon à reprendre du rythme et être « moins au taquet » sur la longue distance. Je souhaite que cette année soit une longue session de reprise avec plus de travail sur le corps et la vitesse.
Conférence en entreprise
Tour de Suisse en courant : cette conférence dans votre entreprise ? Pour votre club ou votre association ? Parfaite dans le cadre d’une soirée d’entreprise, pour un événement de fin d’année, pour motiver et inspirer les équipes !
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Mardi 05 avril 2016, j’ai couru, j’ai trébuché, j’ai chuté, j’ai embrassé la Suisse !
Zut ! Et re-zut !
A 15h j’avais rendez-vous avec mon pote de course Alexandre Jodidio. Pour vous situer Alex (31’08 aux 10 kil) quand je suis à fond il est en endurance et il continue de papoter. Il nous arrive de trotter ensemble, pour lui lors de son travail d’endurance, pour ma part ça me stimule et ensemble nous partageons de bons moments de discussions. Au bout d’environ 5-6 km, sur un chemin j’ai trébuché sur une pierre bien ancrée dans le sol et je suis tombé violemment de tout mon poids sur mon genou gauche et j’ai réalisé une cascade à la Belmondo !
Cependant il m’a fallut un certain temps pour me relever car la douleur a été si forte que j’ai pensé m’être cassé ou fissuré un os. Bizarrement la douleur est surtout apparue au niveau de la cuisse juste au-dessus du genou. Puis le sang s’est mis à couler et nous sommes rentrés en tentant de trotter et une grande partie en marchant. Plus tard c’est grâce à une amie, Jordana qui travaille au service ambulancier de la ville de Sion, que je me suis raisonné et que nous sommes allés aux urgences.
Rien de cassé, radio ok, 2 belles ouvertures au niveau de la rotule, je pouvais charger la jambe (bon signe), perfusion d’antibiotiques, anti-douleurs, piqûre pour anesthésier (2ème jouissance de la journée quand l’aiguille est entrée dans la chair à vif… je passe les détails ?), 4 points de sutures et retour à la maison.
Réflexions
La toute première est mon rapport aux chutes. Ma foi, je ne tombe plus avec autant de souplesse qu’à mes 15 ans quand je pratiquais le BMX…
Ensuite je passe rapidement les pensées comme « un accident ça arrive vite et pas qu’aux autres », « heureusement ce n’est pas la tête qui a pris », « peut-être être plus prudent quand je vais courir loin de chez moi dans des coins perdus » etc…
Et puis arrive un peu de colère alors que je suis en meilleure forme depuis quelques semaines, qu’il y a des projets très sympas, un objectif de 24h à Bâle à la fin du mois, que je reçois des nouvelles positives ces temps-ci et badaboum ! Pourquoi maintenant ? Je n’aurai certainement pas la réponse tout de suite et sans doute jamais…
Et dans la vie de tous les jours : être assis, se laver, prendre les transports, s’habiller, ces actes deviennent tout à coup complexes voire compliqués. Je ne peux m’empêcher cette semaine de penser à toutes celles et ceux qui vivent avec un handicap et qui doivent affronter ces moments.
Que faire ?
Je disais à un ami « soit je me lamente, soit je choisis de prendre cet accident avec philosophie. Je fais le choix de la 2ème solution ! ». Les 2 plaies doivent cicatriser et jusque là je dois patienter. Cependant je tente de ne pas rester trop inactif. J’arrive à faire quelques pompes, à me déplacer lentement et j’observe comment mon corps et mon cerveau réagissent avec cette donne de la jambe de bois. Je visualise la guérison de mon genou (techniques d’hypnose) et je garde espoir de pouvoir recourir dès le 20 ou 21 avril.
Je sais pertinemment que c’est juste un mauvais moment à passer et que si cela devait arriver encore, alors je tenterai une approche plus sexy pour embrasser la Suisse !
Line Lavergne habite à Shawinigan-Sud et Vincent Ostiguy à Saint-Hyacinthe au Québec. Malgré le froid, cela ne les empêche pas de courir ! Ils courent jusqu’à des -27° (température ressentie -36°). Mais comment font-ils pour courir en hiver au Québec ? Ils agissent avec simplicité et bon sens ! Lire la suite
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Vous imaginez bien que cette question est loin d’être innocente. Devez-vous vous faire mal pour progresser ? Étant de nature médiatrice, je vais tenter de ne pas vous faire une réponse de Normand.